23 de fevereiro de 2010

PHEDRE : voyons un peu cette vérité si fragile.

SOCRATE : je n’ose guère t’en offrir l’amusement…


ro

tei

ro

[para oswald de andrade]



PHEDRE : mais c’est toi qui l’as proposé !

SOCRATE : oui, je la croyais la plus honorable à exposer… mais à mesure que je m’approche, et me trouvant tout près de la dire, la pudeur me saisit, et je ressens quelque vergogne à te faire connaître cette naïve production de mon âge d’or.

PHEDRE : quel amour-propre ! tu oublies que nous sommes ombres… que nous sommes bien morts...

Um comentário:

Giovanna disse...

sem vergogne é que se faz.
tá maneiro.