PHEDRE : voyons un peu cette vérité si fragile.
SOCRATE : je n’ose guère t’en offrir l’amusement…
ro
tei
ro
[para oswald de andrade]
PHEDRE : mais c’est toi qui l’as proposé !
SOCRATE : oui, je la croyais la plus honorable à exposer… mais à mesure que je m’approche, et me trouvant tout près de la dire, la pudeur me saisit, et je ressens quelque vergogne à te faire connaître cette naïve production de mon âge d’or.
PHEDRE : quel amour-propre ! tu oublies que nous sommes ombres… que nous sommes bien morts...
Um comentário:
sem vergogne é que se faz.
tá maneiro.
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