5 de julho de 2009

estudo n.3 - os componentes da aula de filosofia moral na Sorbonne em número de 3.Pedra, guarda-chuva, silêncio. o quê ?

[c’est Rudi Dutschke qui l’explique, maman, mais sa pensée a déjà Franchi le Rhin, comme on le sait : alors, il ne restera plus d’espoir que dans les « marginaux », ceux qui ne profitent en rien des surplus de la « société d’abondance » : les peuples sous-développés, les Noirs aux U.S.A, les chômeurs, les travailleurs émigrés, les blancs déclassés (les « outcasts ») et… les étudiants].

2 comentários:

En passant par la Lorraine disse...

Les étudiants "ne profitent en rien des surplus de la société d'abondance" ???

Quand on sait que, selon les pays et les filières, un étudiant coute entre 5 000 et 15 000 euros par an à la collectivité, cette affirmation parait complètement erronée.

C'est la société d'abondance qui permet, par ses surplus, de financer les lycées et universités (publics bien sûr)et donc conditionne l'existence même du statut d'étudiant.

Daniel Jablonski disse...

faut pas oublier qu'on est en 68!