ERRATUM MUSICAL. un jour, un seul jour, c’est juste fermer les yeux et les rouvrir, et puis, tout à coup, tout est à l’envers. [11 graus Celsius em Paris] voilà, c’est le lendemain du discours. et les mots semblent déjà déplacés, vieillis, vieillots. refroidis. ils semblent hors ! de question. hors ! de temps et de propos. juste hors. tudo o que pudemos dizer em um mês, ninguém ficou ferido, em um só dia. e agora, un jour, un autre, comme tous les autres, un seul jour, un orage, et les oiseaux s’envolent. des arbres tiennent debout, d’autres tombent. c’est pareil pour les villes, c’est pareil pour les hommes. — mais quel est la limite, quelle est la limite, Daniel ? [21 de abril de 2009] bam ? qual é essa linha de passagem do signo, esse hors ! que se impõe à língua como o limite do sofrimento, do insuportável do discurso: como dizer a dor ? - o insuportável como indescritível - a dor que se pode causar a um outro ? — é com você mesmo Daniel, qual o limite ? do aparelho e da língua ? do amor e da violência ? da loucura da arma do punho e da garganta contra o corpo só ? eu não sei, eu não sei ! mais un jour, um dia, como os outros, en un seul jour, tout le temps et les hommes et les oiseaux, tout et tous, se retrouvent seuls. c'est octobre. « Quant à moi, écrivait à son fils un Cézanne mourrant, je dois rester seul, la roublardise des gens est telle que jamais je ne pourrai m’en sortir, c’est le vol, la suffisance, l’infatuation, le viol, la mainmise sur votre production, et pourtant la nature est très belle » [28 de septembre 1906].
para Luiza, com carinho.
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