25 de junho de 2009

Mãe,

você me faz estirar as palavras que escrevo,

atrás de um sentido que não existe.


[a pólvora queima lenta, mas ainda, nesse meu futurismo corolário]

2 comentários:

Nadja disse...

La pierre incandescente de l'inconscient sexuel, départicularisée au possible, tenue à l'abri de toute idée de possession immédiate, se reconstitue à cette profondeur [de ton blog peut-être, en tant que recherche de l'Ideal du Moi] comme à nulle autre, tout se perd dans les dernières qui sont aussi les premières modulations du phénix inouÏ.

Daniel Jablonski disse...

tu parles! t'interprètes!